Gösta Sandberg

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Under en bretonsk himmel = Sous un ciel breton

UNDER EN BRETONSK himmelLe hasard, ou le destin, oriente souvent l?existence de celui qui vit dans une société rationnelle, bien plus qu?il n?y paraît. Cela pour montrer la joie qu?un simple vélo peut apporter, et que c?est bien le hasard qui m?a amené jusque dans le Finistère.

Tout a donc commencé par un tour de Bretagne en vélo. Halte à Morlaix pour une soirée fest noz, où, hésitant, j?ai essayé de suivre la danse comme d?autres. Des contacts se sont créés, et je reçus une invitation dans une famille pour le lendemain.

Puis le voyage m?a emmené vers l?intérieur de ce pays. Des montées et encore des montées mais dans un paysage qui devenait de plus en plus beau. Je continuais donc de pédaler et arrivais finalement dans la commune de Scrignac. Et ce fut ma première rencontre avec les gens du pays. Elle s?est consolidée avec le temps, et cela fait maintenant plus de trente ans que je reviens ici régulièrement.

Je suis au Mengleuz, en ce mois d?avril, et je regarde les photographies de ces trente dernières années. J?essaie de me remémorer ces événements vécus, qui sont devenus une part si importante de ma vie, et je souhaiterais rendre un peu de tout ce que j?ai reçu durant toutes ces années.

Under en bretonsk himmelLe hasard, ou le destin, oriente souvent l'existence de celui qui vit dans une société rationnelle, bien plus qu'il n'y paraît. Cela pour montrer la joie qu'un simple vélo peut apporter, et que c'est bien le hasard qui m'a amené jusque dans le Finistère. Tout a donc commencé par un tour de Bretagne en vélo. Halte à Morlaix pour une soirée fest noz, où, hésitant, j'ai essayé de suivre la danse comme d'autres. Des contacts se sont créés, et je reçus une invitation dans une famille pour le lendemain. Puis le voyage m'a emmené vers l'intérieur de ce pays. Des montées et encore des montées mais dans un paysage qui devenait de plus en plus beau. Je continuais donc de pédaler et arrivais finalement dans la commune de Scrignac. Et ce fut ma première rencontre avec les gens du pays. Elle s'est consolidée avec le temps, et cela fait maintenant plus de trente ans que je reviens ici régulièrement. Je suis au Mengleuz, en ce mois d'avril, et je regarde les photographies de ces trente dernières années. J'essaie de me remémorer ces événements vécus, qui sont devenus une part si importante de ma vie, et je souhaiterais rendre un peu de tout ce que j'ai reçu durant toutes ces années.